LE BAN      

DE

HILBESHEIM

Le ban du village couvre a peu près 753 hectares. Il est délimité en partie seulement par des bornes. La richesse de la commune, sans prendre en compte l'apport des taxes locales, provient pour l'essentiel de la forêt communale. On y trouve des essences diverses, mais surtout du chêne , du hêtre et du frêne.

marche en forêt des arboriculteurs dans la Nachtweid

   - La chasse, riche en petit comme en gros gibier, particulièrement des sangliers, constitue un apport non négligeable pour les finances de la commune.

un chalet à l'orée du bois

- Le vieux village s'agglutine autour de l'église, une extension très importante s'est faite vers Sarraltroff et le nouveau lotissement " Les Vieux Vergers " contribue à l'agrandissement du village.

le lotissement au printemps

- Les routes qui datent du début du siècle étaient empierrées, puis recouvertes d'une couche de moulure de pierres calcaires ,et enfin recouvertes de macadam aujourd'hui. Les nombreux virages qui existaient ont été rectifiés il n'y a pas si longtemps.

le lotissement" les vergers" en été

- Le sol est constitué en grande partie d'une terre pierreuse, le calcaire coquillier, communément appelé" Steenbodde".

vue arrière sur le lotissement

- Le point culminant de la localité est le " Dinkelberg", situé à la limite du finage de Hilbesheim et de celui de Réding, d'une hauteur de 325 mètres.

clin d'oeil sur le village

- Les noms des différentes parcelles sont nés de sources diverses. Tous ces noms sont liés soit à un fait historique, soit à une situation géographique particulière, soit au nom des propriétaires. Il est intéressant d'en évoquer quelques-uns des plus connus comme : Eichereck - Fronmatt - Gingelfeld - Stoss - Langwinkel - Ischel - Rohr - Nachtweid - Kastelgarten - Brückel- Vivelack.    Aujourd'hui , unique propriété communale, la Nachtweid présente une superficie de 24,48 ha.

le hohleweg en hiver

- Le remembrement des terres va à la rencontre des besoins nouveaux nés de la modernisation des techniques de culture. Les jeunes sont de plus en plus portés à déserter la terre vers des emplois moins astreignants et mieux rémunérés.

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